Il est admis aujourd’hui que la colline de l’Acropole était habitée depuis le 3ème millénaire

avant JC. De le 6ème siècle avant JC  ont été construits sur elle les tombes sacrés des Athéniens, comme le Hekatompedon etc. détruits depuis, pendant les guerres Persiques.

 

La reconstruction des murs et des sanctuaires a commencé immédiatement après la défaite des Perses en 465 avant JC, pendant le règne de Périclès. Sous la supervision de Phidias et des architectes Mnisiklis, Kallikratis et Callimaque ont été construits et décorés le Parthénon, l'Erechthéion, les Propylées et le temple de la Victoire (Apteron Niki).

 

Durant la période romaine quelques constructions mineures ont été ajoutées.  Au cours de la période byzantine, le Parthénon fut converti en église chrétienne. Au cours de la domination romaine devient église catholique et après l’occupation ottomane, mosquée.

 

Au cours de la période ottomane, l'Acropole a subi les dégâts le plus importants de son histoire. Les Turcs avaient stocké sur la colline des quantités de poudre et ceci a causé des destructions importantes de ses monuments. En 1645 un coup de foudre a frappé la poudre stockée et l’explosion a abimé les Propylées. En 1687, lors du siège de l’Acropole par l’italien Morosini, une des bombes a aussi frappé la poudre stockée dans le Parthénon et détruit le temple.

 

Des dégâts considérables ont été causés par l'Anglais Lord Elgin juste avant la Révolution de 1821. Sous ses ordres, la frise du Parthénon, des métopes, des frontons, une Cariatide et une colonne de l'Erechthéion ont été démantelés et transportés en Angleterre. Pour tout cela, il a payé £ 35 000 aux occupants Turcs et aux Athéniens il a fait don d'une horloge, érigé dans l'ancien marché. Durant l’insurrection de 1821, l'Acropole a été assiégée successivement par les Grecs et les Turcs et elle a subi de nouvelles destructions. En 1834, ont commencé de travaux archéologiques pour la restauration de ses monuments.